Le portrait de Tiphaine
Edité le 08/03/2016
Partager l'articleTiphaine, quelle est ta fonction chez Cavalassur ?
Je suis rédactrice au sein du service gestion, je m’occupe de l’édition des contrats ainsi que de toutes les demandes des clients entre la souscription et la résiliation, en dehors des sinistres. Je suis notamment en charge de la gestion des paiements mais aussi, comme mes collègues, des résiliations, attestations, factures etc…
Qu’est ce qui t’a amenée à travailler chez Cavalassur ?
Après une licence de psychologie et quelques expériences professionnelles, j’ai eu la chance d’intégrer l’équipe de Cavalassur en juillet 2011. Tout d’abord tentée par un métier dans le domaine social, j’ai finalement été attirée par le fait que cette société soit spécialisée dans les chevaux. Je peux désormais exercer une profession en rapport avec ces animaux dont je suis passionnée depuis toujours, et m’y épanouir.
Quel a été ton parcours équestre ?
J’ai commencé à monter à poney en club à l’âge de 10 ans, et j’ai poursuivi à cheval jusqu’à 18 ans. Mes études m’ont tenue à l’écart des chevaux pendant quelques années puis je suis revenue aux chevaux, d’abord en centre équestre puis en prenant une demi-pension, avant de faire l’acquisition de mon propre cheval, No Stress, un pur-sang sorti de l’entraînement, qui avait alors 3 ans. Cela fait désormais un peu plus de 5 ans que nous évoluons ensemble, avec des hauts et des bas, mais pour mon plus grand plaisir !
Peux-tu nous raconter l’un de tes souvenirs équestres les plus marquants ?
L’un des moments forts de mon parcours reste ma participation, via l’A.S Cavalassur, à un concours de dressage inter-entreprises. Il s’agissait de ma première compétition, de plus sur un cheval inconnu, tiré au sort dans le centre équestre qui nous accueillait… Un peu de stress mais une bonne ambiance grâce au soutien de mes collègues m’ont permis de remporter mon épreuve !
Enfin, quel conseil pourrais-tu donner à la communauté Cavalassur ?
Selon moi la qualité première d’un cavalier doit être la remise en question, en effet je pense que lorsqu’il y a un problème la plupart du temps la responsabilité revient au cavalier, qui a lui-même tendance à la rejeter sur son cheval. Les chevaux ont beaucoup de choses à nous dire, il faut simplement apprendre à les écouter !
Edité le 08/03/2016
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