Le cheval hanovrien est originaire de la région de Hanovre en Allemagne. La race hanovrienne existe depuis le 17e siècle. Il a ensuite été utilisé comme cheval de guerre et comme cheval d’attelage pour la noblesse (d’où son élégance). Puis, à partir de 1714, comme cheval d’attelage pour le roi.
Le haras hanovrien de Celle a été créé en 1735 par le roi George II de Grande-Bretagne. Dès lors, les juments hanovriennes ont été croisées avec des étalons holstein pour produire des chevaux de trait polyvalents. Les juments hanovriennes ont également été croisées avec des pur-sang pour réduire le poids du modèle et produire des chevaux de trait plus raffinés. Le XIXe siècle étant à son milieu, l’hanovrien s’oriente vers un modèle plus raffiné et mieux adapté à la selle. La Seconde Guerre mondiale puis la motorisation entraînent le déclin de la race. Pour conserver la race hanovrienne, on procède à des croisements avec des Trakehner et des pur-sang arabes. Le hanovrien est alors orienté vers la selle, notamment en compétition. Il est athlétique et harmonieux, mais aussi fort et robuste.
Aujourd'hui, le cheval hanovrien participe aux compétitions internationales au plus haut niveau en dressage, saut d'obstacles et concours complet.
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Le Hanovrien a un tempérament équilibré. Il est volontaire et coopératif.
Le Hanovrien n'est pas exposé aux maladies génétiques. Il peut être sujet à de l'ostéochondrose lors de sa croissance, et à des pathologies articulaires en vieillissant (arthrose).
Il excelle dans les sports équestres et notamment dans la discipline du dressage.
Les hanovriens sont généralement exempts de maladies génétiques mais peuvent développer une ostéochondrose pendant leur croissance et de l'arthrose en vieillissant.
Le Hanovrien est un cheval athlétique, énergique, solide, calme et endurant.